« Les gens qui vivent avec le diabète ne sont pas seulement des patients, ce sont des humains qui ont une famille, […] des idées et des rêves. »
Avoir un mode de vie actif constitue un défi pour les personnes diabétiques. En leur permettant de mieux contrôler leur glycémie, la technologie aide les patients à atteindre leurs objectifs… à petite ou à grande échelle!
C’est à l’âge de 22 ans que Sébastien Sasseville, un athlète, auteur et conférencier accompli, a reçu son diagnostic de diabète de type 1. Ce type de diabète se traite uniquement par des injections d’insuline. Une bonne alimentation et la pratique régulière d’activité physique, en plus d’une surveillance quotidienne de son taux de sucre dans le sang (glycémie) contribuent à améliorer le contrôle de la maladie. Plutôt que de l’affliger, ce nouveau régime de vie a été le déclencheur des exploits sportifs de Sébastien Sasseville. « J’ai commencé tranquillement comme tout le monde et j’y ai pris goût ». Quelques années plus tard, il gravissait le mont Everest, complétait un ultramarathon dans le Sahara et traversait le Canada à la course.
Or la pratique du sport pour les personnes insulino-dépendantes s’avère très complexe. Selon Diabète Québec, l’exercice physique a un impact sur la glycémie, qui peut devenir trop basse ou trop élevée selon l’activité. Sébastien Sasseville explique qu’avant chaque séance, il doit planifier sa prise d’insuline selon la durée et l’intensité prévues de son entraînement. Dans ce contexte, des technologies comme le lecteur de glycémie CONTOUR® NEXT ONE d’Ascencia et l’application mobile CONTOUR® DIABETES sont des instruments indispensables pour les patients actifs. La fonction « Mes tendances » de l’application permet en outre d’analyser les résultats des tests pour détecter des tendances, identifier des causes possibles aux fluctuations de la glycémie et offrir des conseils personnalisés. « Ça nous aide pour la gestion de notre diabète car sans ces outils, on avance les yeux bandés. »
Selon l’athlète et conférencier engagé, la technologie fait en sorte qu’il n’y a jamais eu de meilleur moment pour avoir le diabète. « Il y a 50 ans, il n’y a aucune quantité de motivation qui aurait pu être suffisante pour rendre ces choses-là possibles. » Il estime qu’un bon contrôle de sa glycémie lui permet d’être plus productif intellectuellement et physiquement, de se réaliser au travail et dans sa vie personnelle, de se réveiller de bonne humeur et d’avoir un impact positif sur les autres. « Les gens qui vivent avec le diabète ne sont pas seulement des patients, ce sont des humains qui ont une famille, des enfants, des projets, des idées et des rêves. Ça permet de se concentrer sur ce qui est important. »